Acheter une maison en Espagne est l’objectif de beaucoup de Belges. Chaque année, vous êtes de plus en plus nombreux à quitter la Belgique pour profiter de la météo clémente des Costa espagnoles. Si, en général, la transition se déroule bien, il arrive que les nouveaux acheteurs tombent dans des pièges dont il est parfois difficile de se sortir. Découvrez, grâce à TM Grupo, comment les éviter.
Piège n°1 : Ne pas se préparer aux changements
Même si les deux pays ne sont séparés “que” de quelques milliers de kilomètres, la Belgique et l’Espagne sont deux régions d’Europe aux cultures bien différentes. De nombreux points divergèrent entre nos plates contrées et les régions vallonnées de l’Espagne, comme le système éducatif, le folklore, la gastronomie, et… le système immobilier. Ce dernier propose quelques spécificités que l’on ne retrouve pas sur le marché belge et qu’il est primordial de connaître pour éviter de se retrouver dans des situations qui n’auraient rien de plaisantes.
Ainsi, lors de vos visites sur place, n’hésitez jamais à poser énormément de questions pour vous assurer d’obtenir toutes les réponses qui pourraient vous être utiles. Et prenez votre temps, il s’agit potentiellement, de votre futur chez-vous, ne laissez place à aucun doute : l’isolation est-elle en règle ? La chaudière fonctionne-t-elle encore ? Les tâches dans le coin de la pièce, est-ce de l’humidité ? Quel est le prix des autres maisons du quartier ?
Vérifiez les branchements, l’humidité, l’insonorisation des pièces qui sont trois points bien souvent négligés. Pensez également à l’état des fenêtres, des sols, des murs. L’Espagne a mis du temps à se relever de la crise immobilière de 2008 avant que la construction de nouveaux logements s’accélère ces dernières années. De quoi donner des idées à des promoteurs immobiliers qui en oublient parfois la sécurité et les normes d’hygiène.
Piège n°2 : Ne pas vérifier l’état du bien
Contrairement à la Belgique, les dettes espagnoles ne sont pas liées à une personne, mais aux biens immobiliers qu’elle possède. Il est donc essentiel de s’assurer qu’aucune dette ou hypothèque ne soit en cours sur la maison ou l’appartement que vous désirez acheter, sous peine de vous retrouver avec des frais supplémentaires. Avant d’acquérir votre bien, soyez certains que l’ancien propriétaire n’a laissé aucune facture impayée : charges, gaz, électricité,…
Sans vérification de votre part avant la signature de l’acte d’achat, les dettes seront automatiquement mises à votre nom. Pour éviter ce genre de situation, lors de vos recherches, vous pouvez demander la “nota simple”, l’un des documents qui vous sera le plus utile. Considérez-la comme le passeport de la propriété, elle décrit le bien de sa surface à ses caractéristiques. Pour le trouver, il suffit de le demander au Registre de la propriété, “Registro de la Propiedad”, en espagnol à la commune.
Autre document essentiel, le “Certificato energitico”, le Certificat énergétique, qui a la même fonction que celui que l’on trouve ici, en Belgique. Attention, cependant, vous devez en faire la demande avant votre achat auprès d’un technicien habilité ou au Collège Professionnel des Architectes. Il sera alors valable pour une durée de 10 ans.
Piège n°3 : Ne pas vous projeter dans le futur
Acheter un bien immobilier, lorsqu’il s’agit d’un achat destiné à devenir votre habitation principale, est toujours un projet d’envergure qu’il se fasse en Belgique ou à l’étranger. Si vous ne pouvez pas anticiper tous les scénarios possibles et imaginables, vous pouvez vous préparer à certains d’entre eux.
Et parmi ceux-ci, on retrouve celui de la revente ou la location possible de votre propriété dans quelques années. Une lassitude, une envie de retour au source, un problème de santé, familial, financier qui vous pousserait à revendre ou à le louer n’est jamais à exclure.
De nombreuses raisons peuvent vous pousser à mettre votre bien sur la côte espagnol sur le marché immobilier. Mais une autre solution est également envisageable: la mise en location pour le marché espagnol ou destiné à des touristes. Pensez-y dès le départ en calculant combien le rendement locatif de votre bien vous rapporterait. Un bien idéalement situé peut être loué entre 10 et 12 semaines par an, surtout durant les périodes estivales.
Piège n°4 : Vouloir vous débrouiller seul sans contacter un professionnel
Avec Internet, les futurs acquéreurs ont tendance à penser qu’ils peuvent se débrouiller seuls. Or, le marché immobilier en Espagne possède quelques subtilités qui n’existent pas en Belgique. Le plus simple, pour ne rien oublier, c’est de faire appel à une agence immobilière ou un promoteur local qui pourra vous guider et vous accompagner. Chez TM Grupo, nos agents sont présents à chaque étape de l’achat de votre bien pour vous conseiller, de votre recherche jusqu’à la remise des clefs.
Fort de plus de cinquante ans d’expérience, nous avons pour mission de vous aider à trouver la maison ou l’appartement de vos rêves sur l’une de nos célèbres costa. Depuis notre création, nous avons aidé de nombreuses familles en vendant plus de 20.000 logements de la Costa Del Sol à la Costa Brava.
Notre service personnalisé vous propose un accueil commercial d’exception, grâce à nos 500 agents dispersés à travers le monde dont la Belgique, disponibles tous les jours pour vous renseigner. Notre souhait est que le processus d’acquisition de votre bien reste pour vous une expérience inoubliable !
